montée à pied, et premier déco vers les 13h30 dans du face au déco, c'est du n'importe quoi en l'air sans être méchant, rien d'établi, du coup j'arrête de chercher des
thermiques évanescents
en plaine, et pose face au nord.
c'est pas un problème, cette fois on monte en voiture
.
au déco, c'est l'anémie, le soleil joue à cache cache, et ne vas pas tarder à disparaitre.
Jean-marc, Alban et Patrice décollent en fusible dans des créneaux et tiennent pas des masses, puis une fois tout à l'ombre, un dynamique en sud ouest se met en place et ça tient pour tout ceux qui décollent ensuite.
par contre, les valeurs gentillettes de la balise n'ont l'air valable qu'autour de la balise, en bas l'isère se frise, et ça contre pas mal, le plan initial de tenter st jean se transforme en partir vent de cul vers un village en "st quelque-chose".
ça a pas l'air génial au relief, mais ça monte devant, donc suivant la théorie(fumeuse ?) selon laquelle une partie du sud met le relief sous le vent, et une partie plus chaude remonte la vallée de l'isère et remonte sur le coin d'air froid, je tente le passage bien devant, et ça marche pas trop mal (pour descendre à la fin, c'est simple, suffit de se rapprocher du relief).
Jean luc pose à st gervais, et Jo me double par le bas et pose après la rivière. Du coup j'arrête de monter aux écouges (de toute façon pas emballé par le sud ouest fort, et au début je voulais faire un point là et rejoindre jean luc à st gervais) et
file aussi à la rivière
pas trop loin de st quentin (pour le village en "st").
Merci Ness pour la navette retour et le suivis en radio, et JP des tichos pour les bichocos et sa proposition de stop