Un alevoux taquin, par tendance sud leger.
on met un sud leger, qui parfois arrive du fa pour descendre à st pierre, aidé par des cums en déconfitures qui s'étalent avant de se dissoudre, mettant tout à l'ombre.
On y ajoute des thermiques qui parfois prennent la main sur l'ensemble du site, parfois alimentent seulement le déco face ..
Ça donne des conditions que jacques qualifie "d'interessantes" ou le sens de l'observation, le choix du créneau et du placement, l'instinct de pilote et l'expérience du site permettent de rester en l'air (ou pas! ).
Pour ma part, j'ai fait un choix de créneau particulier, en décollant deux fois au moment ou la manche à air de l'atterro indique de l'air qui descend du fa (posé face à l'est au deuxieme vol) . un premier vol entamé par une petite asymétrique en sortie de déco suivi par une plombé en tentant à gauche, puis exploration au large ou ça reprend très finement (et pas un "bon" thermique comme le suggère Jean Luc) bien décalé devant au nord du terrain .
et regret de n'avoir pas tenté la butte au dessus de la nationale, j'étais un peu bas quand j'y ai vu les pollens, et avec ces noyers et du blé vert, pas osé forcer le passage
un deuxième vol avec des conditions similaires, et cette fois il faut un peu de barreau pour rentrer dans du -2, parfais pour être à l'heure au concert
Un meilleurs choix de site aurait été gontier, avec une optique de durée ou de distance, mais ce genre de vol à l'alevoux est aussi très formateur pour développer un instinct infaillible, la preuve en est que certains pilotes ont réussis a rester longtemps en l'air (on a même vu une voile partie de l'alevoux a 2000 a st jean
)
Alex est arrivé plus tard , lorsque le soleil et les cums de face ouest était de retour, je me demande ce que ça a donné, si le stop a marché bien sûr !