Lundi 17 septembre : Pré Gontier

Bonjour,

Je vais à Gontier ; à pied par le plateau du Faz.

Rendez vous à 13h30 à St Pierre

Je vais essayer d'y être mais ça risque d'être un peu juste pour moi. 13h30 c'est plus jouable

Petit compte rendu :

Départ à pied du plateau du Faz avec Sébastien et Laurent à 13h55 ;
Arrivée à Gontier à 14h25 ;

C'est bien alimenté mais irrégulier entre 12 et 18 km/h avec des rafales à 24 km/h au niveau du sol.
Les branches des arbres au dessus sont bien secouées et nous font présager de plus de vent ;
Tout cela corroboré par les nuages, juste au dessus et dont la base semble proche de 2000 m, qui passent plein Sud trop rapidement à nos yeux.

Pourtant la balise reste dans des proportions raisonnables.
Nous sommes peut être trop haut dans le flux du vent météo.
On décide donc de descendre à la balise.

Sébastien s'y prépare quand nous voyons arriver la haut au décollage de Gontier, Jean Marc, le Belge.
On attend de voir.
Il décolle au bout de quelques minutes ; Montée très rapide, voire violente et chahutée, au dessus des crêtes, puis vol scotché en crabe arrière poussé en direction des gorges du Nan.
On ne sait pas où il a atterri, mais surement assez loin de Saint Pierre.

Sébastien a replié et nous sommes descendus à pied en ramassant des champignons.

Une belle sortie avec un parapentiste cueilleur de cèpes
Et un gendarme qui reve de voler...
On a même vu un amateur de rodéo aérien!
Plus sérieusement arrivé à Gontier c’etait Trop thermique on voyait les cums se former à la cime des’ abres en dessus de nous qui étaient retournés par cette brise rafaleuse qui passait de 10 à 25 en cinq secondes
Nous sommes retéléphone une heure sur place mais rien n’a changé
Ensuite nous sommes allés’ a la balise c’etait Bien alimenté mais travers droit décidément rien ne va!
Après avoir vu le parapentiste décoller du pré Gonthier avec du gros tangage puis scotché...
Du coup retour sur notre plancher des vaches’ou Nous étions quand même mieux qu’en l’air
Moralité: il faut savoir dire non @+seb

A la descente on a pris des raccourcis dans les bois et c'est là que j'ai été agressé à la tête par une grosse ronce aux grandes épines.
De l'intérêt de garder son casque en toutes circonstances.