Appelé en dernière minute en 4eme joueur pour une belote d'anciens du club
, on se retrouve finalement sur le déco de Montaud, seuls !
Alain ayant oublié les jetons, on abandonne la belote mais c'est pas grave, parce que comme par hasard, on avait pris les voiles
Alain lance la mène avec une montée facile aux crêtes, je relance, suivi par Pierre avec plus ou moins le même jeu, et Phiphi persuadé qu'on la faisait sans atouts, n'attend personne et file direct au Sud, en nous cherchant loin devant, alors qu'on temporise sur la buffe ( ben oui des fois une batterie de radio chargée aide à la communication
)
Début de partie facile, ou les atouts permettent les 2000m, puis un jeu différent après le bec de l'orient, je tente
trèfle
, devant les avant reliefs, et Pierre et Alain restent à carreaux sur la crête menant aux écouges, au final c'est rassemblement sur l'arête menant au bec de neurre.
On n'a ni Nord ouest, ni amorce de restit, mais plutôt un NNE peu favorable pour la suite, et ce n'est pas les voiles vues sur st pierre puis annoncées faisant un tas qui disent le contraire
donc ayant peu de gaz au bec de Neurre, on abandonne l'idée de malleval en passant par devant.
Avec Pierre on reprendra 200m après cognin, soit au moins 1000m de moins que vendredi dernier pour ceux qui y sont passés
et on finira tous les 3 la mène dans un champ fauché du plateau d'izeron où il manquait peu pour repartir, Phiphi ayant posé à cognin après avoir poussé vers les bouddhistes .
Pierre connaissant toutes les personnes passant sur la route, le retour à st Gervais se fera facilement les voiles en remorque
j'annoncerai une belote, rebelote et dix de der en redécollant lors de la navette au déco, avec un site qui
monte encore
, de 10 m à chaque 8 sur 200m de long à droite du déco, me laissant entrevoir une arrivée aux crêtes sur les 22h
La restit est absente, et le météo est tombé.
Du coup je range les cartes, et file poser en plaine, dans ce qui s'avère être le dernier champ en herbe (fauché) avant l'ex atterro de st Gervais engalonné
, la mono culture de noyer est en train de réussir à rendre assez difficile le posé sur de grande surfaces de la plaine, à se demander pour combien de temps encore on va pouvoir crosser dans la vallée !